Le journal El Joumhouria, situé à la rue de l’hôtel de ville, a abrité, hier, une conférence du Haut-Commissariat de l’amazighité (HCA) et cela en collaboration avec l’association Numidia.
Elle est musicienne, chanteuse et professeur de musique à la fois. Avec sa voix puissante et douce, son charisme et sa beauté, elle est considérée comme étant l’une des plus belles voix féminines en Algérie.
Le livre d’Emmanuel Alcaraz condense en 300 pages toutes les grandes stations qui ont marqué notre histoire depuis l’antiquité. Une partie importante de ce travail historiographique est consacrée aux violences de la colonisation et ses mémoires en conflit.
L’ambassade de France en Algérie et le ministère des Affaires étrangères et de la communauté nationale à l’étranger de la République Algérienne Démocratique et populaire lance à la suite de son appel à manifestation d’intérêt, un appel à projet dans le cadre du programme de partenariat PROFAS C+.
C’est un monument historique au passé incroyablement riche, se trouvant à 110 km de la capitale, Alger, qui est aujourd’hui livré au vandalisme, abandonné. Il n’y aucune plaque indicative pour cette ferme de Stigès érigée durant l’ère coloniale à la sortie ouest de la localité côtière de Messelmoune, wilaya de Tipasa.
Des expositions ont été lancées lundi à la maison de la culture Abi Ras Ennaceri de Mascara, pour faire découvrir le patrimoine matériel et immatériel dans le cadre du Mois du patrimoine.
Sans aucune surprise, la salle de l’Opéra d’Alger était dans la soirée de lundi dernier pleine à craquer à l’occasion du concert animé par le chanteur Lounis Aït Menguellet. Un concert événement après une longue absence.
Il a fait l’Ecole régionale des beaux-arts d’Azazga dans la wilaya de Tizi Ouzou, et obtenu son diplôme en 2018. Sid Ahmed Chergui, dit Adel, est un jeune artiste plasticien et sculpteur modeleur, natif de la wilaya de Bouira.
Le 23 avril 1616, deux des auteurs les plus universels de la littérature mondiale sont morts: le romancier espagnol Miguel de Cervantes et le dramaturge anglais William Shakespeare. Ce 23 avril marque aussi la naissance, ou la mort d’éminents écrivains tels que Maurice Druon, K. Laxness, Vladimir Nabokov, Josep Pla ou Manuel Mejía Vallejo.
Le nouveau roman de Yasmina Khadra, intitulé Les Vertueux, paraîtra chez les éditions Mialet-Barrault ayant déjà édité son dernier livre Pour L’Amour d’Elena, en France et bien sûr, paraîtra chez Casbah Editions, en Algérie. D’après la couverture du roman Les Vertueux et la légende de l’auteur, Yasmina Khadra, c’est un roman se déroulant à Oran durant la colonisation française. Yasmina Khadra, de son vrai nom, Mohammed Moulessehoul, est consacré à deux reprises par l’Académie française, salué par des prix Nobel (Gabriel Garcia Marquez, J. M. Coetze, Orhan Pamuk).
L’auteure Yamina Miri-Aït Abdelmalek revient sur ce qui a inspiré et motivé son récit de voyage intitulé Six jours sur le plateau du Tassili N’Ajjer, publié aux éditions algériennes El Ibriz. Un livre qui est sorti en mars dernier, à l’occasion de la tenue du 25e du Salon international du livre d’Alger. Entretien
C’est un groupe de jeunes issus de différentes associations activant dans la commune d’Aghbalou, à l’est de la wilaya de Bouira, qui a pris l’initiative d’animer la vie culturelle dans leur patelin.
Le journaliste Farid Alilat vient de publier aux éditions du Rocher, en France, un ouvrage consacré à une légende de la musique d’expression kabyle, Idir. L’ouvrage est intitulé Idir, un Kabyle du monde. Il regroupe une quarantaine de témoignages de ceux qui ont travaillé, chanté, collaboré, côtoyé et connu le grand Idir.
L’Ecole nationale supérieure de conservation et de restauration des biens culturels (ENSCRBC), qui se trouve à l’intérieur du siège du «mort-né » CAA (Centre arabe d’archéologie) à Tipasa, a saisi l’opportunité de la célébration du mois du patrimoine.
La troupe de l’association du théâtre de Chlef que dirige le comédien et metteur en scène, Hamid Belkhodja, a achevé, mercredi dernier, sa tournée à l’est du pays, dans le cadre du programme d’animation des soirées de Ramadhan.
Le chantre de la chanson kabyle Lounis Aït Menguellet a animé, samedi soir à Alger, un gala grandiose devant un public charmé de retrouver l’artiste poète, après une absence de la scène imposée par la pandémie de coronavirus.
La 22e édition du festival Cinémas du sud prévoit un focus sur le cinéma algérien, avec la projection de trois longs métrages de fiction lors de cette manifestation qui se tiendra du 27 au 30 avril à Lyon (France).
Dans l’entretien accordé à El Watan, Abderrezak Dourari considère que la «maîtrise des langues étrangères pour n’importe quel pays est devenue une nécessité impérieuse dans le contexte de cette mondialisation sauvage et sans scrupule». Pour le linguiste, qui vient de publier un essai Penser les langues en Algérie, Ed. Frantz Fanon, 2022, le maintien de la politique linguistique «irrationnelle» actuelle «consistant à faire triompher l’Un face au Multiple (…) est le symptôme que c’est la même tendance idéologique qui a mené le pays contre le mur et retardé son développement dans tous les domaines, qui demeure encore très influente dans la politique linguistique de l’Etat algérien».
Ancien militant de la cause nationale, l’homme a connu un parcours riche, dont sept saisons à la tête du théâtre national algérien de Constantine, gérées de main de maître.
Après sa diffusion en exclusivité sur la plateforme de streaming, VOD ( video on demand), la première du genre en Algérie, en 2021, le série Babor Elouh du réalisateur tunisien Nasreddine Shili, repasse sur Echorouk TV, durant le mois de Ramadhan, au grand bonheur des téléspectateurs qui avaient quelque peu été pénalisés par l’effet Netflix. Et Babor Elouh est un succès, ce n’est pas du «réchauffé».