C’est un regard à la fois historique et archéologique sur la région qu’a présenté le 21 mai au Centre culturel islamique Ahmed Hamani de Jijel, le jeune chercheur Khaled Belli, dans son premier ouvrage, en remontant jusqu’à la préhistoire et en se limitant à l’invasion et l’occupation vandales entre les Ve et Ve siècles.
La «longue liste» des auteurs en lice pour la 6e édition du grand prix Assia Djebar pour le roman a été dévoilée jeudi 19 mai au siège de l’ANEP.
L’écrivaine Jamila Rahal a signé son roman Tu es plus libre que tes geôliers, paru chez Casbah Editions, samedi après-midi à la librairie du Tiers-Monde, place Emir Abdelkader, à Alger.
Parler aujourd’hui en Algérie d'un personnage comme le docteur Mohamed Lamine Debaghine est un défi pour plusieurs raisons. Rachid Khettab a pris le risque de le sortir de l’oubli, pas seulement en tant qu'homme politique atypique, mais aussi, comme un intellectuel révolutionnaire. Ce militant joua un rôle important à la tête de la direction clandestine du Parti du peuple algérien (PPA) ainsi que dans l’expérience des Amis du Manifeste algérien (AML) durant la Seconde Guerre mondiale. Il s’opposa successivement à Messali -le père du nationalisme algérien -en 1949 et à la direction militarisée de la révolution en 1959. Pour ces quelques raisons et d’autres, le contenu du livre *de Rachid khettab est d’actualité plus que jamais en Algérie, et ailleurs. Entretien réalisée par Boualem Ramdani
Osiris : L’origine d’un mythe est un essai de l’auteur Chabane Skander, paru aux éditions Jets D’encre, en France, fin 2021. L’ouvrage s’articule, comme son titre l’indique, autour du mythe de la divinité d’Osiris du point de vue de son origine, en accentuant la recherche, beaucoup plus, sur le côté linguistique que sur le côté philosophique ou religieux.
L’Algérie a pris part à la manifestation «Portes ouvertes des ambassades» (Around the World Embassy Tour), tenue récemment à Washington avec un riche programme culturel reflétant le richesse et la diversité du patrimoine algérien.
La Franco-Libanaise Rima Abdul-Malak, nommée vendredi ministre française de la Culture, entre dans la lumière après avoir été conseillère culture du président Emmanuel Macron et de l’ancien maire de Paris Bertrand Delanoë, forte aussi d’une expérience dans l’humanitaire.
Réalisé par Tarik Saleh («Le Caire confidentiel»), le film se déroule après le décès du grand imam d’Al-Azhar, autorité qui fait référence pour des millions de croyants. Qui va lui succéder ?
La préservation des ouvrages composant la bibliothèque personnelle du Cheikh Abdelhamid Benbadis (1889-1940) était une grande responsabilité que «je me suis endossé» avec l’objectif de sauvegarder un pan de la mémoire de la Nation, a témoigné Abdelhak Benbadis, frère du fondateur et premier président de l’Association des Oulémas musulmans algériens. «J’ai œuvré, pendant des années, à collecter les livres du Cheikh depuis divers endroits pour les mettre au bureau de mon père, à la maison familiale», a déclaré à l’APS M. Benbadis.
L’Institut Cervantès d’Alger organise, le 24 mai à 18h, au niveau de la salle des Actes (Institut Cervantès d’Alger) la «Veillée poétique» : lecture de poésie et dialogue avec Rosana Acquaroni et Samira Negrouche, accompagnées de Farid Beloui (musique). Rosana Acquaroni est poète et artiste lithographe espagnole, docteur et professeur à l’Université Complutense de Madrid.
D’aucuns, à l’instar de Bensmaïl et Bachir Derraïs, estiment qu’il aurait fait une carrière exceptionnelle en France. On se souviendra toujours de sa sympathique volubilité, de ses rires tonitruants, de son air parfois ombrageux au point d’inquiéter.
Dans le cadre de la réorganisation et la rénovation des salles du Musée national Cirta de Constantine, la direction de cet établissement vient d’inaugurer son cinquième espace dédié à «l’Antiquité tardive».
Les principales localités de la wilaya sont parsemées des patrimoines cultuels, malheureusement inexploités, pourtant ils sont une source de revenus.
Une réception en l’honneur de Sofia Tabani, lauréate de l’édition 2021 du concours de dessin pour enfants Este es mi Mexico, a été donnée, jeudi soir, par l’ambassadeur du Mexique Gabriel Rosenzweig et de son épouse Mme Laura O’Dogherty, au niveau de la résidence du Mexique à Alger.
Un poignant hommage a été rendu jeudi à la maison de la culture de Béjaïa à l’artiste disparu Djamel Allam à l’occasion d’un regroupement anodin, de sa famille, dont son épouse et ses deux enfants, ses amis proches (artistes ou autres) des figures de la culture locales et beaucoup d’anonymes.
L’écrivaine Jamila Rahal signera son roman (historique) Tu es plus libre que tes geôliers, paru chez Casbah Editions, le samedi 21 mai à 14h, à la librairie du Tiers-Monde, place Emir Abdelkader, à Alger. Tu es plus libre que tes geôliers est un roman historique qui prend ses sources à la fin du VIVe siècle à Tlemcen et à Nedroma, se poursuit à Paris, Oran et Alger, avant de s’achever à Maghnia en 1954.
Ouvert mercredi dernier, le Salon national du livre de Chlef boucle aujourd’hui sa quatrième et dernière journée sur une note optimiste et d’espoir. La participation de groupes d’enfants à l’inauguration de cet événement, dans une ambiance enthousiaste, autour des stands de livres, notamment les manuels éducatifs, en est la parfaite illustration.
Vangelis Papathanassiou n’est plus parmi nous», a-t-il tweeté sans aucune autre précision. «C’est un choc» et «une grande perte pour le monde de la musique en générale, la musique de films et pour l’histoire des musiques électroniques dont il était un des pionniers», a affirmé jeudi soir à l’AFP le compositeur français Jean-Michel Jarre.
C’est par un après-midi ramadhanesque que nous avons eu le plaisir de rencontrer Freh Khodja. Cet artiste avant-gardiste nous a accueillis les bras ouverts, partageant avec nous sa passion pour la botanique, le dessin et surtout la musique. C’est dans son studio musical aménagé qu’il nous parlera avec beaucoup de passion et de franchise de sa carrière, de sa vision musicale, de ses succès, mais aussi de ses regrets.
Musique symbole de la Saoura, le foundou est l’émanation de l’environnement culturel et spirituel saharien et l’expression contemporaine des souffrances des mineurs des anciennes houillères de Kenadza (Béchar).