En marge de son exposition tenue au palais Ahmed Bey, l’artiste Raja Seghir a accepté de se livrer à El Watan et expliquer son basculement dans la peinture, son processus de création et ses thèmes de prédilection.
La peinture de Raja Seghir est un acte de résilience. Dans les regards altiers, mêlant résistance et défi face à l’occupant français, ses femmes en portraits, empruntées à des clichés dépoussiérés, renvoient à sa propre condition de femme émancipée d’une carrière d’architecte jonchée d’obstacles rédhibitoires et nauséabonds.
La Journée nationale du musée (18 mai, ndlr) aura été une opportunité pour mettre un coup de projecteur sur un monument historique inédit, un musée qui illustre le génie et la solidarité des Algériens au XIXe siècle. Il s’agit de la manufacture d’armes de l’Emir Abdelkader, un site qui relève de l’OGEBC (Office national de gestion et d’exploitation des biens culturels).
Après une éclipse de cinq années, le Festival national de théâtre de marionnettes (FNCM) est de retour. Il se tiendra du 8 au 11 juin, soit seulement trois jours, restrictions budgétaires obligent, celles-là même qui ont gommé ce parent pauvre du théâtre algérien du calendrier des manifestations du ministère de la Culture, une décision très mal vécue par les marionnettistes qui n’avaient que cette unique rencontre annuelle pour promouvoir leur art.
Alain Ruscio historien, chercheur et militant, signera, aujourd’hui, 29 mai, à 15h, son nouvel ouvrage intitulé Les communistes et l’Algérie : des origines de la guerre d’indépendance 1920-1062, paru chez les éditions APIC, à la Librairie du Tiers-Monde, place Emir Abdelkader, à Alger.
L’un des derniers membres de la célèbre troupe musicale Safir Ettarab, Hadj Mustapha Abdeslam, vient de tirer sa révérence à l’âge de 84 ans.
Vêtus de culottes en satin, de paillettes et de bottes compensées, les fans d’ABBA ont afflué dans une salle de concert de l’est de Londres vendredi pour la soirée d’ouverture d’«ABBA Voyage», le spectacle avatar numérique du supergroupe suédois.
Yamina Miri-Aït Abdelmalek a signé son fort intéressant ouvrage intitulé «Six jours sur le plateau du Tassili N’Ajjer» paru chez les éditions El Ibriz, jeudi après-midi à la librairie du Tiers-Monde, place Emir Abdelkader, à Alger.
L’ambassade du Vietnam fait une petite escale de trois jours, au centre commercial de Bab Ezzouar d’Alger pour célébrer le 60e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques vietnamo-algériennes.
A l’issue de son intervention lors de cette journée d’étude à l’ENSCRBC de Tipasa, le professeur et chercheur Youcef Chennaoui, trop pris par son emploi du temps, a bien voulu répondre exceptionnellement à nos questions.
Tahar Ouettar, écrivain prodige, visionnaire humaniste, homme de lettres et militant aguerri de son époque a fait l’objet d’une récente étude académique de la part d’un groupe d’enseignants universitaires venus dire la portée universelle de ses œuvres et reformuler des lectures sur ses errances d’intellectuel accompli et parfois incompris.
Le Professeur Chennaoui Youcef, directeur de recherches à l’EPAU (Ecole polytechnique d’architecture et d’urbanisme) d’Alger, directeur du projet PPMVSA (Plan permanent de mise en valeur et de sauvegarde des sites archéologiques) de Tipasa, avait participé à une journée d’étude organisée par le Professeur Hamza Mohamed Chérif, directeur de l’ENSCRBC (École nationale supérieure de conservation et de restauration des biens culturels) de Tipasa le 12 mai, l’un des événements culturels et scientifiques inscrit au programme de la célébration du mois du patrimoine.
L’OPVM tente sans relâche de rapprocher le citoyen de son patrimoine
Dernière ligne droite au Festival de Cannes, où les films de deux dernières réalisatrices doivent être projetés avant que le jury, présidé par Vincent Lindon, ne se retire pour décerner, samedi soir, la prestigieuse Palme d’Or.
L’association Cercle de l’âge d’or de Hadjout célèbre le 60e anniversaire de la section universitaire et la jeunesse algérienne locale, en organisant quelques activités sportives et culturelles dans l’ex-Marengo.
En février 2021, El Watan partageait le soulagement et l’enthousiasme de l’Association des amis du Medghacen suite à l’annonce de la reprise du projet de réhabilitation du mausolée numide du Medghacen, suspendue en 2018 pour des raisons occultes, et absurdes en tout cas.
Les auteurs Lynda Chouiten et Belkacem Achite signeront respectivement leurs livres, Des rêves à leur portée et Nous étions l’avenir : Regards sur l’Algérie de nos vingt ans parus chez Casbah Editions, à l’occasion du 2e Salon du livre de d’At Yanni (Tizi Ouzou) Mouloud Mammeri se déroulant du 24 au 28 mai 2022.
Le luthier algérien Farid Taleb a représenté, dernièrement, l’Algérie au 1er Festival international de la guitare Show à Montreux en Suisse.
Les enfants de la «télé» sont orphelins. Les gosses du petit et grand écran sont tristes. Leur mère, leur grand-mère est décédé à 92 ans, dimanche. Cette maman, cette mamie, est la grande comédienne Chafia Boudraâ ayant crevé le petit écran dans les années 1970 avec le feuilleton culte El Harik ( L’Incendie) de Mustapha Badie. Elle a été inhumé le même jour au cimetière El Alia, à Alger.
L’histoire du cinéma et de la télévision algériens gardera pour la postérité des images qui resteront gravées dans la mémoire des téléspectateurs, notamment ceux qui ont vécu la période d’or des années 1960 et 1970. Une époque qui a vu l’émergence de vrais talents et la diffusion de productions marquées pour longtemps dans les annales.