C’est à guichets fermés que s’est déroulé le gala de Lounis Aït Menguellet, samedi soir à l’Olympia de Montréal devant un public enchanté et réceptif qui a retrouvé son idole pour une sacrée soirée, après une absence de la scène canadienne depuis 2017 imposée par la crise sanitaire mondiale de la Covid-19.
La ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, a procédé, dimanche à Alger, à l’installation de M. Tidjani Tama au poste de directeur du Centre national du livre (CNL), en remplacement de M. Lahcène Mandjour, chargé de la gestion provisoire de ce centre, indique un communiqué du ministère.
Dans cet entretien, Koussaïla Alik, docteur en linguistique amazighe et maître de conférences (HDR) au département de langue et culture amazighes de l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou, aborde la question de la langue maternelle dans une société multiculturelle et multilingue.
Ta rose de pourpre, à ton clair soleil, O Juin, étincelle enivrée ; Penche aussi vers moi ta coupe dorée : Mon cœur à ta rose est pareil.
Le journaliste, chroniqueur du Soir d’Algérie et écrivain Hakim Laâlam a signé son nouveau roman intitulé R.I., Au nom du Père, du Fils et du Sain d’Esprit paru aux éditions Frantz Fanon, à la librairie du Tiers-Monde, place Emir Abdelkader, à Alger.
Ils étaient des centaines à faire la queue devant la porte du centre culturel Mustapha Kateb pour vivre le temps d’un après-midi aux couleurs et au senteurs de l’Europe .
C’est un homme inquiet, voire désespéré, qui nous a appelés pour nous lancer un appel au secours, un cri de détresse, un SOS.
Les deux invités de l’association culturelle Tassalast, organisatrice de la rencontre, au campus Aboudaou de l’université de Béjaïa, mardi dernier, avaient pourtant deux thèmes distincts, la première proposant de parler sur la face cachée de Mouloud Mammeri, une face méconnue par beaucoup de lecteurs, atteste Tassadit Yacine.
Souk Ahras a apporté à l’occasion d’une soirée musicale animée, mercredi, à la salle Tahar Ouettar, un énième indice de bonne santé de ses artistes. La troupe de l’atelier musical qui relève de ladite salle a eu le privilège de l’ouverture du spectacle et c’est tout en joie que le public lui a présenté sa révérence.
L’homme a connu une carrière d’une extrême richesse, entre malouf et musique moderne, durant laquelle il a brillé par un talent inimitable et une classe inégalable.
Il chantait Let’s get together and be all right, «Réunissons-nous et tout ira bien»... Vendredi, le souvenir de la légende du reggae Bob Marley et de ses messages d’unité a réchauffé un Sommet des Amériques par ailleurs émaillé de fausses notes.
Lors d’une exposition à Alger en 1979, le cinéaste Jean Pierre Lledo écrira sur le livre d’or: «Continue à t’exprimer». «Ç’a été un déclic pour un débutant comme moi», reconnaitra Kamel Khalfallah durant la rencontre intime et privée, organisée, mercredi dernier, par l’association «Jijel antique» pour l’honorer à l’occasion de la célébration de la Journée nationale de l’artiste.
Dans l’entretien accordé à El Watan, Mouanis Bekari nous parle de son roman Le testament de Jugurtha, publié aux éditions Gaïa. Le récit servi par un style classique brillant est agrémenté d’une préface du poète Amin Khan, d’un préambule et de notes explicatives. L’auteur, interrogé sur les sources sur lesquelles il s’est appuyé pour écrire son roman, nous dit sans ambages : «Mon but n’est pas d’avoir raison, mais d’ouvrir un débat plutôt tombé en désuétude depuis Jean Amrouche et Mohamed Chérif Sahli. Tout se passe comme si la figure de Jugurtha avait été figée par un consensus académique qui, tout en lui reconnaissant des qualités exceptionnelles, s’accorde sur son ambition immodérée, son hubris dirait Salluste, et sur le juste châtiment qui l’a sanctionné. Or, c’est précisément parce qu’il n’y a pas de sources inédites que l’on est en droit de contester celles qui fondent la doxa sur Jugurtha»
Dans le cadre de la numérisation des activités du Théâtre régional de Constantine (TRC) Mohamed Tahar Fergani, l’administration de ce dernier vient de lancer sa nouvelle action d’archives des parcours des comédiens.
«La musique donne une âme à nos cœurs et des ailes à la pensée.» Platon C’est la fulgurante ascension du parcours exceptionnel de Cheikh Amar Ezzahi, une véritable icône sublimée par la jeunesse qui vient d’être projetée en un ouvrage au titre éloquent d’expressivité de Cheikh Amar Ezzahi ou l’éclat juvénile de la chanson châabie sous la plume de l’écrivain de renom du patrimoine musical Abdelkader Bendameche.
Le jury de la sixième édition du Grand prix Assia Djebar du roman a sélectionné 13 ouvrages pour la participation à cette prestigieuse distinction, a indiqué jeudi un communiqué de l’Entreprise nationale de communication, d’édition et de publicité (ANEP), organisatrice du prix.
Il aura fallu attendre plusieurs décennies avant que le cinéma ne se penche sur le sacrifice de ces pieds-noirs, en réalité des fils de l’Algérie, qui se sont mobilisés au prix de leur vie pour la cause du peuple algérien.
La Journée nationale de l’artiste, qui coïncide avec le 8 juin de chaque année, a été marquée mercredi soir à Alger par la distinction de plus d’une trentaine d’artistes dans divers domaines, outre la remise du Prix du président de la République pour les jeunes créateurs, Ali Maachi.
Juan Antonio Bardem, le réalisateur de « Calle Mayor » et « Muerte de un ciclista », né il y a cent ans, était un pionnier de portée internationale qui a lutté contre la censure franquiste et a cru au caractère révolutionnaire du cinéma. Il était un créateur indispensable et d’une figure toujours proche des problématiques sociales. Fils des acteurs, Rafael Bardem et Matilde Muñoz Sampedro et frère de Pilar Bardem, il connut dès son plus jeune âge, les misères du métier artistique.
La ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, a annoncé lundi à Alger, la création d’un nouveau mécanisme devant soutenir la production cinématographique, rassurant les acteurs de l’industrie du cinéma que l’Etat ne renoncera jamais à l’accompagnement de leurs projets, selon un communiqué du ministère.