Le collectif des musiciens de l’Orchestre symphonique de l’opéra d’Alger sont en train de pétitionner pour informer l’opinion publique et les décideurs culturels sur la nécessité de la reprise et la relance des activités de l’Orchestre symphonique de l’Opéra et le retour de leur chef d’orchestre, le maestro Amine Kouider.
Le théâtre Kateb Yacine de Tizi Ouzou a eu la main heureuse en optant pour Un inspecteur vous demande que lui a proposé de monter Ahmed Khoudi, une pièce qu’il a réécrite en darja avec pour titre Rosa Hnini.
Yasmina Khadra, rencontrera son public, à Oran, aujourd’hui, à 16h, au Théâtre régional (TRO), à Alger, lundi 18 juillet à 16h, à la Bibliothèque nationale d’El Hamma, et à Tizi Ouzou, mardi 19 juillet à 14h, à la Maison de la Culture. Yasmina Khadra a une actualité.
L’ambassade d’Italie en Algérie et l’Institut culturel italien d’Alger, le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale MAECI en collaboration avec la FondazioneMAXXI et le ministère de la Culture et des Arts algériens organisent l’exposition «Univers Olivetti.
Algéroise, Mme Madina Ben Ahmed, étudiante en 1re année Master dans la filière conservation et restauration des biens mobiliers culturels à l’ENSCRBC (Ecole nationale supérieure de conservation, de restauration des biens culturels) de Tipasa, participe à chaque événement inhérent à la start-up.
«Mama Binette, harragas françaises naufragées au cap Ténès», un opus de Mahdi Boukhalfa, revient sur une vraie fausse légende : celle de femmes, parties sur un navire de guerre de la flotte napoléonienne vers les Amériques, la Louisiane plus précisément, qui ne termineront jamais leur long périple. Quelques jours après son départ du port de Toulon vers Saint Domingue, le Banel est dérouté par une tempête de tous les diables et s’échoue sur une crique des côtes barbaresques, entre Ténès et Beni- Haoua, à Oued Goussine. Dans l’actuelle baie des Souahlias. C’est le début d’une légende, dramatique du reste pour les naufragés, mais surtout la fin réelle d’un rêve, celui d’aller en Amérique. Le livre revient en détail sur ce naufrage, et défait patiemment l’épais écheveau, qui s’est tissé sur ce naufrage, sur la base de témoignages, certains faux, d’autres romancés, et beaucoup n’ayant aucun lien avec ce qu’il s’est passé en ce matin venteux et pluvieux du 15 janvier 1802.
Même s’il s’agit d’une adaptation d’une nouvelle de Tchekhov (La choriste), la pièce de théâtre Lailatkoum saiida, du théâtre national égyptien présentée au TRO dans le cadre des journées du théâtre méditerranéen, organisé à l’occasion des JM, reste très banale et sans aucune profondeur, y compris dans son registre, c’est-à-dire la comédie.
Le musicien, le chef d’orchestre, le président de l’association musicale El Bachtarzia de Koléa (Tipasa), Yazid Hamoudi, est l’unique personne à l’origine de la merveilleuse intitiative, qui avait eu lieu dans la soirée du 2 juillet au palais de la Culture à Alger. Donc rendons à Yazid ce qui appartient à Hamoudi de Koléa. Il a dirigé un orchestre mixte composé de 250 musiciens enveloppés de tenues traditionnelles aux multiples couleurs. Un orchestre qui a fait voyager les familles mélomanes en cette nuit estivale à la veille de la célébration d’une événement historique national. L’orchestre El Djazaïr est son appellation. Il était constitué des élèves de 30 associations. Nous avons voulu connaître plus de détails sur cette inédite action, chaleureusement accueillie par une assistance nombreuse privilégiée, au moment où le peuple algérien à juste titre fêtait les 60 années de l’Indépendance du pays. Le chef d’orchestre El Djazair , Yazid Hamoudi, nous livre ses confidences.
L’historienne Malika Rahal a signé son nouvel ouvrage intitulé Algérie 1962, une histoire populaire paru chez les éditions Barzakh, le mercredi 6 juillet 2022 à 14h, à la librairie du Tiers-Monde, place Emir Abdelkader, à Alger.
La société chaouie a suscité peu d’écrits. Les rares textes connus sont ceux de chercheurs étrangers, particulièrement français, à l’instar de l’ethnologue Germaine Tillon dont les travaux menés dans les années 1930 à El Ménéa et chez les Ouled Abderrahmane sont devenus une référence incontournable pour les chercheurs en sciences sociales.
Raconter le récit du cheval Barbe, c’est transcender les siècles et revisiter les batailles épiques, les chevauchées des grandes Aguelids numides, de Jugurtha à Takfarinas, en passant par Massinissa et Yuva. C’est aussi relire cette présence admirable du Barbe durant les résistance populaires de Cheikh El Mokrani, Lala Fatma N’Soumer, Cheikh El Berkani, l’Emir Abdelkader, de Bouamama et Ouled Sidi Cheikh. Le fils de Mahieddine, ou le chevalier de la foi a consacré toute une poésie au cheval.
Vous avez certainement entendu parler des célèbres toiles de maîtres «Femmes d’Alger dans leur appartement», d’Eugène Delacroix (1834), et «Les Femmes d’Alger», de Pablo Picasso (1955). Mais connaissez-vous les autres «Femmes d’Alger», celles du peintre et graphiste algérien Mustapha Boutadjine ?
Dans l’entretien accordé à El Watan, le jeune essayiste Ali Chibani évoque le long combat du poète Jean El Mouhoub Amrouche (1906-1962) pour la dignité de son peuple. «Ses écrits prouvent aussi que Jean Amrouche s’est, dès son adolescence, assigné la mission d’être «la bouche des malheurs qui n’ont point de bouche, comme l’écrit Aimé Césaire», souligne-t-il. S’agissant de la nécessaire réhabilitation de cette figure majeure de la littérature et du combat politique, l’auteur est sans appel : «Ceux qui connaissent le parcours politique, journalistique et littéraire de Jean Amrouche sont admiratifs et reconnaissants. Ceux qui l’ignorent parce qu’ils n’ont pas eu l’opportunité d’entendre parler de lui peuvent le faire en découvrant son œuvre, et c’est là le seul hommage valable que l’on puisse rendre à un écrivain. Quant à ceux qui veulent le faire oublier, je suis certain qu’ils ne reconnaîtront jamais l’importance qu’a eue cet homme d’exception dans l’histoire de la première moitié du XXe siècle.»
Tant attendue, l’historienne Malika Rahal a rencontré, pour la première fois, depuis la sortie de son livre Algérie 1962, une histoire populaire, son public algérois, au niveau de la librairie L’Arbre à dires de Sidi Yahia à Alger.
La sortie officielle du nouveau single du chanteur Youcef Cherchali, intitulé Wine Kounti a eu lieu le 1er juillet à 18h. C’est une chanson écrite et composée par Mme Wahiba Boudi.
Les Mémoires du grand baroudeur, Abdelhafidh Yaha, intitulés Au cœur des maquis de Kabylie 1948-1962), Mon combat pour l’indépendance de l’Algérie, ressortent aujourd’hui en librairie, annonce l’éditeur Arezki Aït Larbi. La grande moudjahida, Djamila Bouhired a écrit la préface. Au vitriol.
C’est un tout petit bout de femme. De petite taille. Mais elle est grande par son talent et sa spontanéité. Elle nous vient d’Irlande. Elle a 31 ans, elle a à son actif 7 albums, elle est chanteuse, guitariste, gauchère et pianiste. Bien qu’elle ait égaré ses bagages, ses guitares, ses instruments quelque part à Paris, Wallis Bird, a mis sens dessus-dessous le TNA, samedi soir, lors de la clôture du Festival européen s’étant déroulé du 23 juin au 1er juillet 2022 au TNA, au T. Costantine et au cinéma Maghreb (ex-Régent), à Oran, sous le thème «Musiqu’Elles».
Une véritable bataille culturelle est menée par un pays voisin pour accaparer le patrimoine algérien et se l’attribuer dans des expositions organisées à l’étranger.
Larab Mohand Ouramdane vient de publier aux éditions La graine fertile un nouvel ouvrage intitulé Lounès Matoub Azamul n’yimazighen, symbole des Berbères.
La galerie Ezzou’art propose jusqu’au 14 juillet une exposition de peinture collective colorée, explorant la diversité des styles et tendances artistiques.