La Fédération algérienne de boxe (FAB) est sous la menace d’une suspension par la Fédération internationale de boxe (IBA) et la Confédération africaine de boxe (AFBC) suite à la radiation du président de la FAB, Ferhat Fazil Abdelnour, prononcée 16 novembre 2022, par le ministère de la Jeunesse et des Sports (MJS). La décision serait motivée par «des accusations de harcèlement formulées par des boxeuses contre le président de la FAF lors du championnat du monde en Turquie en mai 2022».
La Fédération algérienne de football (FAF) continue de fermer les yeux sur le non-respect des articles du décret exécutif qui traite de la question du cumul de mandats électifs.
Les statuts de la Fédération algérienne de football (FAF) seront bientôt mis en conformité avec ceux de la FIFA. Des représentants des deux instances ont tenu deux réunions de travail sur le sujet, mercredi et jeudi derniers au siège de la FAF.
Mohamed Maouche (87 ans), membre de la glorieuse équipe du FLN et président de la fondation équipe du FLN, a été victime d’une mauvaise chute jeudi soir lors de la cérémonie organisée au ministère des Moudjahidine à l’occasion de la célébration du 65e anniversaire de la création de la glorieuse équipe du FLN (13 avril 1958).
Il y a 65 ans, jour pour jour, le 13 avril 1958, des joueurs algériens évoluant au sein de clubs professionnels en France ont répondu à l’appel du FLN et quitté clandestinement la France pour rejoindre Tunis qui a été choisie comme camp de base pour le regroupement permanent de ce qui allait être la glorieuse équipe du FLN.
La fin de saison 2022-2023 n’échappe pas à la règle. Elle fait l’objet des mêmes critiques au sujet de l’intégrité de la compétition. Durant cette période cruciale de la saison, le sujet qui fait l’actualité, c’est l’arrangement des matchs et son corollaire la corruption qui est désormais dans l’ADN du football.
La Commission fédérale des arbitres (CFA) est de nouveau dans l’œil du cyclone. Les dernières journées de championnat (toutes divisions confondues) ont été marquées par une poussée de contestations émanant de clubs qui ont fortement contesté des décisions arbitrales.
Les démons du football algérien sont remontés en surface à la faveur de l’approche de la fin de saison et des multiples dangers qu’ils charrient. Il y a comme un embrasement planifié.
Ce qui a été qualifié «d’affaire du huis clos du match PAC-JSK» n’aurait jamais dû exister si le bon sens avait prévalu et, surtout, si les règlements avaient été respectés.
La programmation du match PAC-JSK, à huis clos, demain à Dar El Beida, a provoqué l’incompréhension et la colère de la direction kabyle et des supporters qui ne digèrent pas la décision de faire jouer le match à huis clos.
Le feuilleton de la mise en conformité des statuts de la fédération algérienne de football (FAF) avec ceux de la FIFA réapparaît à la surface comme un serpent de mer à la faveur de la «sale guerre» qu’ont décidé de mener contre le football algérien ses véritables ennemis enfouis dans son corps et ses démembrements.
Après la rencontre WA Casablanca – JS Kabylie, des voix se sont élevées pour exiger «la protection des équipes algériennes en Coupe d’Afrique inter- clubs contre l’arbitrage». Il est à craindre que cela reste un vœu pieux.
Les propos et déclarations du chargé de communication de l’équipe nationale, Salah Aboud Bey, lors de son passage sur le plateau de la télévision El Bilad ont provoqué un tollé général et des interrogations sur cette sortie inopinée qui intervient à un moment important.
Le CR Belouizdad et la JS Kabylie ont rempli leur contrat dans la prestigieuse compétition inter- clubs de la CAF, la Ligue des champions.
Sans surprise, la décision de la Fédération française de football (fff) d’interdire l’arrêt des matches pour permettre aux joueurs de confession musulmane de rompre le jeûne a provoqué l’effet attendu.
La fédération française de football (FFF) aurait pu faire l’économie de la décision d’interdiction d’arrêter le match pour permettre la rupture du jeûne pour les joueurs de confession musulmane.
Le président du Comité olympique international (CIO), Thomas Bach, a vivement réagi aux déclarations virulentes de gouvernements européens qui ont dénoncé son «attitude conciliante envers les Russes et Biélorusses qu’il veut faire participer aux qualifications et aux Jeux de Paris».
L’olympisme vit les moments les plus difficiles de sa longue et riche existence. Sa charte a résisté au temps et aux crises qui l’ont secoué à trois reprises, le boycott des Jeux en 1976, 1980 et 1984 pour des raisons et motivations purement politiques.
Le sélectionneur des U17, Arezki Remmane fait l’objet d’une violente campagne de dénigrement sur les réseaux alimentée par des parties qui ont pignon sur rue à travers des associations, clubs et autres.
L’équipe nationale a posé ses deux pieds en Côte d’Ivoire (CAN-2024) après le succès (étriqué) obtenu lundi à Tunis face au Niger.