Le feuilleton fédération et le sélectionneur national Djamel Belmadi semble bien parti pour durer et s’achever, probablement, devant les tribunaux. Les négociations sur la fin de la relation de travail entre la fédération et le sélectionneur traînent en longueur.
La Fédération algérienne de football (FAF) rompra dans les prochaines heures le silence sur toutes les questions liées à la fin de mission du sélectionneur national Djamel Belmadi et du contrat qui lie les deux parties.
L’élimination des Verts au premier tour de la CAN Côte d’Ivoire 2023, jouée en 2024, a scellé le sort du sélectionneur national Djamel Belmadi. Ce dernier et le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Walid Sadi, ont abordé la question de l’avenir du premier à la tête de l’Equipe nationale.
L’après-Belmadi est en marche. Juste après l’humiliante défaite (0-1) contre la Mauritanie, la réflexion sur l’avenir de Djamel Belmadi à la tête des Verts a été entamée. Les responsables de la fédération, à leur tête le président Walid Sadi, se sont projetés sur l’avenir immédiat des Verts dans la suite des éliminatoires de la Coupe du monde 2026.
Plusieurs sélectionneurs n’ont pas survécu au premier tour de la CAN-2023. Le plus illustre est l’Algérien Djamel Belmadi qui a remporté la CAN-2019 en Egypte et qui, à deux reprises consécutives, a échoué à qualifier les Verts aux 16es de finale. Le coach des Verts reste donc sur deux cuisants échecs en CAN.
Oui, et maintenant ? C’est la lancinante question qui revient sur les lèvres des supporters algériens depuis le mardi noir (23 janvier) qui fera date dans l’histoire de l’Equipe nationale. L’humiliante défaite (0-1) et élimination au premier tour de la CAN-2023 en Côte d’Ivoire, contre la Mauritanie, ne sera pas oubliée de sitôt par les supporters.
Une fois de plus, les Verts ont raté, pour la seconde fois consécutive, la phase finale du tournoi continental. Après la CAN-2022 disputée en 2023 au Cameroun où ils ont récolté un point et fermé la marche du classement, ils ont récidivé moins de deux ans plus tard à la CAN 2023, jouée en 2024. Même parcours, faible récolte de points (deux) et toujours la dernière place au classement.
Les (deux) périodes d’enregistrements dans la saison, avant le début du championnat et ensuite la phase retour, sont des moments cruciaux pour la faune de faux agents et vrais maquignons qui ont infesté le football algérien.
Les Verts jouent ce soir, face à la Mauritanie, le match de la survie à la CAN- 2023. La victoire est obligatoire et la défaite interdite. Elle serait synonyme de retour précipité à la maison.
L’Equipe nationale poussive avance cahin-cahin en Coupe d’Afrique des nations Côte d’Ivoire 2023. C’est le moins que l’on puisse dire, après ses deux premières sorties soldées par des matchs nuls contre l’Angola (1-1) et le Burkina Faso (2-2). Cette maigre moisson ne rassure pas trop sur son avenir dans la 34e édition de la compétition continentale.
L’affaire Adel Amrouche (peut- on la qualifier autrement ? ) serait-elle elle entachée de fautes et d’irrégularités dans le traitements et le prononcé de la sanction que le jury disciplinaire de la Confédération africaine de football ( CAF ) a prononcé contre le sélectionneur de la Tanzanie (8 matchs de suspension pour avoir critiqué le président de la Fédération marocaine, Fouzi Lekjaa.
La Côte d’Ivoire est en train de battre un des plus importants records auquel ont été toujours confrontés les pays organisateurs de la CAN.
La Confédération africaine de football (CAF) a sévèrement sanctionné le sélectionneur de la Tanzanie, Adel Amrouche, après avoir été saisie par la Fédération royale marocaine de football (FRMF), suite aux propos qu’a tenus le coach de la Tanzanie concernant le président de la FRMF, Fouzi Lekjaa, et son influence sur les décisions que la Confédération prend en faveur de la fédération qu’il dirige.
L’Équipe nationale est encore en vie et préserve ses chances de qualification aux huitièmes de finale après le match nul (2-2) face au Burkina Faso.
Les Verts jouent aujourd’hui, à 15 heures, un match important pour leur avenir dans la CAN en Côte d’Ivoire face au Burkina Faso. Le résultat de ce rendez- vous influera, sans aucun doute, sur le classement du groupe que dominent les Étalons avec 3 points, suivis des Verts et de l’Angola avec 1 point, alors que la Mauritanie ferme la marche avec 0 point au compteur.
La Confédération africaine de football ( CAF ) a sévèrement sanctionné le selectionneur de la Tanzanie, Adel Amrouche, après avoir été saisie par la federation royale marocaine de football ( FRMF) suite aux propos qu'a tenus le coach de la Tanzanie concernant le président de la FRMF, Fouzi Lakjaa, et son influence sur les décisions que la Confédération prend en faveur de la fédération qu'il dirige.
L’OGC Nice a acté la fin de l’aventure de Youcef Atal sous ses couleurs. Mettant à profit le mercato hivernal 2024, le club a recruté deux joueurs dont un défenseur latéral droit, un Français de 27 ans qui jouait en Turquie, pour compenser l’absence définitive de l’international algérien.
L’Équipe nationale a raté son entrée en matière à la CAN 2024 contre l’Angola (1-1). Le résulat et la manière ont suscité un flot de commentaires (négatifs). Ils ont réveillé les démons de la CAN-2022 lorsque les Verts ont été incapables de battre la Sierra Léone. La suite, tout le monde la connaît.
L’Équipe nationale peut-elle vivre sans Ryad Mahrez ? La question est de brûlante actualité, après les dernières sorties des Verts durant lesquelles le capitaine d’équipe n’a eu aucune influence dans le jeu. Sa prestation face à l’Angola a été vivement critiquée. Une évidence que personne ne peut nier.
Le sélectionneur algérien de la Tanzanie, Adel Amrouche, a été lynché par des médias marocains pour avoir déclaré que «le Maroc décide où il doit jouer, choisi l’horaire des matchs et bien d’autres choses sur lesquelles je ne veux pas m’étaler pour l’instant».