L’Algérie, «qui n’oubliera jamais le mérite des soutiens de sa juste cause, exprime, une nouvelle fois aujourd’hui sa loyauté à tous les amis de la Révolution, et sa reconnaissance envers leur œuvre», a affirmé, hier à Alger, le ministre des Moudjahidine et des Ayants droit, Laïd Rebiga.
C’était un samedi, selon des documents historiques rapportant les événements du 27 juin 1857, remis à l’APS par des descendants des villageois ayant pris part à cette glorieuse bataille. Les habitants des villages Mzeguene et Ath Laaziz, qui ont été informés de l’avancée des troupes françaises, à partir d’Akbou (Béjaïa), décidèrent d’empêcher cette «expédition».
La wilaya de Mostaganem a commémoré lundi le 178e anniversaire des enfumades de la tribu de Ouled Riah, dans la commune de Nekmaria, un odieux massacre perpétré par le colonisateur français.
Un nom évocateur qui symbolise l’une des nombreuses batailles engagées par l’ALN, au douar Ighram, lequel est situé à un jet de pierre d’Akbou, une ville de garnison, réputée pour son camp de prisonniers (CTT), et où la torture et l’assassinat sont monnaie courante.
Les participants à une conférence sur les massacres du 8 Mai 1945, organisée par l'Académie algérienne de citoyenneté à Tizi Ouzou, ont insisté sur la nécessité de récupérer les archives algériennes conservées par la France et d'écrire l'histoire de l'Algérie par des plumes algériennes.
Mohammed Harbi a publié dans Le Monde Diplomatique une contribution sur les événements du 8 Mai 1945 sous le titre : «La guerre d’Algérie a commencé à Sétif».
Le ministre des Moudjahidine et des Ayants droit, Laïd Rebiga, a déclaré, dimanche soir à Sétif, que la «commémoration du 8 Mai 1945 et de toutes nos journées historiques vise avant tout à exprimer notre fidélité à la mémoire des chouhada»
Plusieurs centaines de citoyens ont participé, hier à Sétif, à la marche de la fidélité aux martyrs tombés le 8 Mai 1945, au cours d’un des plus grands crimes de l’histoire contemporaine. Les marcheurs, avec à leur tête le ministre des Moudjahidine et des Ayants droit, Laïd Rebiga, ont insisté sur la préservation de la mémoire collective et sa consolidation dans l’esprit des générations.
Soixante-huit ans sont passés sur les massacres de Mai 1945, commis par l’armée coloniale à Kherrata (Béjaïa), mais le souvenir de cette journée effroyable et les atrocités dont elle a été le théâtre peinent à s’estomper, affirment des témoignages de survivants qui en sont marqués encore au fer rouge et que le temps n’a été d’aucun secours pour tempérer les douleurs vécues et les cruautés subies.
L’Algérie commémore, aujourd’hui, le 78e anniversaire des massacres du 8 Mai 1945 à Sétif, Guelma et Kherrata, où les forces coloniales françaises ont fait subir à des milliers d’Algériens les pires souffrances, suivies d’exécutions sommaires.
Les documents historiques et les témoins encore vivants révèlent que les assassinats de masse se sont poursuivis pendant plusieurs semaines et se sont propagés à d'autres régions du pays, et font état de la souffrance endurée par les citoyens lors de ces terribles massacres ayant fait de Sétif, Guelma et Kherrata un charnier inimaginable.
Auteur de la notice « Racisme colonial et post-colonial » du Dictionnaire de la guerre d’Algérie récemment paru en France, je me suis vu assez sévèrement critiqué par un collègue historien, M. Hosni Kitouni, dans les colonnes de votre journal. C’est la règle du jeu : un livre ou un article, dès qu’ils sont dans le domaine public, peuvent et même doivent être l’objet de lectures critiques, et je n’ai rien à y dire. Jusqu’à présent, j’avais l’habitude d’être plutôt très durement attaqué par les cercles algérianistes et l’extrême droite française.
Le 1er mai 1945, des citoyens de Cherchell, des militants du PPA, manifestent en bravant les interdits et en défiant les autorités coloniales, afin de revendiquer l’Indépendance de l’Algérie et la libération du leader du PPA, Messali Hadj.
Le Comité du centenaire de Krim Belkacem a organisé un événement inaugurant le centenaire de sa naissance, à l’Académie de géopolitique de Paris, le lundi 20 mars. Cette reconnaissance d’hommage et d’histoire se déroulera durant toute l’année 2023 à travers des conférences, expositions, contributions écrites, émissions radio, télévision, témoignages de familles, amis et historiens.
La contribution des populations du Sud à la lutte contre le colonialisme français a été mise en avant par des académiciens, historiens et hommes de lettres, lors d’un colloque national intitulé «Le 19 Mars, triomphe de l’unité nationale, terre et peuple», animé à l’université de Ouargla, dans le cadre de la célébration du 61e anniversaire de la Fête de la victoire, marquant la date du cessez-le-feu, le 19 Mars 1962.
Notre amie Monique Hervo nous a quittés le lundi 20 mars à Nanterre, au Centre d’accueil et de soin hospitalier où elle résidait depuis le début du mois de février.» Décédée à 95 ans la «combattante pour la dignité humaine et pour la fraternité», dont la dépouille sera rapatriée vendredi, sera inhumée au cimetière El Alia à Alger, où elle reposera auprès des militants et des martyrs pour l’indépendance de l’Algérie. L’information est donnée par Mehdi Lalaoui, cofondateur de l’association «Au nom de la Mémoire» sur le 17 Octobre 1961.
Le ministre des Moudjahidine et des Ayants droit, Laïd Rebiga, a affirmé, samedi à Alger, que les acquis de la Guerre de Libération constituaient le ciment de la mémoire nationale contre les ennemis, et une source pour attiser le patriotisme chez les jeunes.
Ayant pris part à la commémoration du 64e anniversaire de la mort du Colonel Amirouche Ait Hamouda, organisée par la fondation éponyme et la famille du martyr, à Tassaft Ouguemoune, dans la commune d’Iboudrarène, daïra d’Ath Yenni, dans la wilaya de Tizi Ouzou, le ministre des Moudjahidine et des Ayants droit, Laïd Rebigua, a appelé à préserver la mémoire nationale.
L’Algérie célèbre, ce dimanche, la Fête de la victoire marquant le 61e anniversaire du cessez-le-feu du 19 Mars 1962, une journée mémorable qui a amorcé une nouvelle ère pour un peuple déterminé à rester libre après avoir consenti d’immenses sacrifices pour imposer sa volonté.
Le président de la République a salué l’esprit de sacrifice des générations de l’indépendance, résolument attachées à l’esprit de Novembre.