Dans le cadre des activités de «Mars au féminin», l’espace culturel Bachir Mentouri a organisé, lundi dernier, une rencontre intitulée « Des femmes et des parcours ».
Slimane Zeghidour, intervenant lundi à l’Institut français d’Oran sur les diasporas, un sujet complexe avec ses thématiques sous-jacentes tout aussi compliquées que sont l’émigration, l’exil, etc., a eu à un moment à évoquer Boris Pasternak (1890-1960).
Invité samedi 5 mars au Café littéraire de Biskra, organisé par le Comité des fêtes de la municipalité, Selim Betka, enseignant de littérature à l’université, et écrivain né en 1963 ayant à son actif plusieurs romans et pièces de théâtre écrits dans une langue arabe usuelle «afin d’atteindre le plus nombre de lecteurs», précise-t-il, est longuement revenu sur ses motivations et sur le processus d’écriture d’un récit historique romanesque, ainsi que sur les obstacles et les embûches auxquels sont confrontés les écrivains voulant se frotter à un tel exercice.
Il n’avait pas tort quand le défunt vice-président de l’APC de Koléa, Cheikh Slimane Annani, alors inspecteur général de l’Education nationale, quand il avait décidé, le 7 mars 1974, de céder une école primaire désaffectée située au centre-ville à l’association musicale Dar El Gharnatia dirigée par le défunt président Bellouti, un mélomane et éducateur dynamique.
L’Algérie, qui durant son combat héroïque contre 132 ans de colonisation meurtrière, a vu des hommes et des femmes épris de justice et de liberté soutenir le sursaut révolutionnaire, ce maillon de solidarité n’a pas été rompu après l’indépendance, mais au contraire Alger s’est transformé en un véritable réceptacle d’un magnifique mouvement dédié à la construction et à la remise sur pied de ce que la colonisation française a réduit à néant.
La cérémonie de remise du Prix Abdelhamid Benzine du journalisme s’est déroulée au restaurant «Caracoya», à Alger-centre, samedi matin, le 5 mars 2022.
«Quand on pense, y a pas photo» Sans le moindre protocole ni aucune introduction, l’artiste photographe Hamid Rahiche est entré dans le vif du sujet. Il est allé directement à la rencontre d’un public curieux, avide de découvrir son exposition «Alger-Marseille, Territoires parallèles» dont le vernissage a eu lieu le 26 février à l’Institut français de Constantine (IFC), et qui se poursuivra durant un mois. Sourire aux yeux et visage caché derrière son masque protecteur, Hamid a montré avec une spontanéité déconcertante, qu’il maîtrisait bien son sujet. Il parlait comme il réfléchissait, passant d’une œuvre à une autre, pour expliquer que dans cette collection de 29 photos, une photographie n’est pas une œuvre à part. Elle complète une autre pour former finalement, comme dans une chaîne, une seule œuvre traitant d’une thématique pour laquelle il a effectué plusieurs voyages entre Alger et Marseille.
L’ambassadrice des Etats-Unis à Alger, Mme Elizabeth Moore Aubin, s’est félicitée, samedi depuis Taghit (Béchar), des relations «fortes» et «importantes» unissant l’Algérie et les Etats-Unis, affirmant «son engagement à œuvrer pour leur consolidation et l’approfondissement à travers le dialogue stratégique bilatéral».
L’Académie arabe de musique relevant de la ligue arabe organise la 6e édition du Concours international de composition musicale sur la «Composition d’une œuvre musicale dédiée au Kanoun», a indiqué dimanche un communiqué de l’Opéra d’Alger.
La star britannique de la pop Ed Sheeran a comparu vendredi devant la justice britannique où il est poursuivi par deux auteurs-compositeurs qui l’accusent de plagiat pour son tube Shape Of You.
Jusqu’au 26 mars, le centre culturel Mustapha Kateb à Alger ouvre son espace aux œuvres de l’artiste plasticien Nacer Eddine Douadi.
Antonia Grande, directrice de l’Institut culturel italien à Alger, à la veille du Salon international du livre d’Alger (SILA), se déroulant du 24 au 31 mars 2022 à la Safex, Pins Maritimes,, est enthousiaste par rapport à cet événement. L’Italie est l’invitée d’honneur du Sila 2022 de retour après plus de deux ans d’absence imposée par la pandémie.
«La mode est une forme de laideur si intolérable qu’il faut en changer tous les six mois», disait Oscar Wilde. Cette sentence, Sami Medafer Mohamed , fera sienne. En initiant une tendance artistique, textile, en faisant ni dans la demie, petite et grande mesure, mais dans le sur-mesure et en sortant sa griffe algérienne-de renommée internationale- non pas pour maille à partir mais pour tisser des liens avec les gens, la bonne maille.
Placée sous le thème «Bou Saâda regards croisés», cette résidence fait suite à la deuxième résidence euromaghrébine tenue en novembre 2014 à Constantine. Initiée par la délégation de l’Union européenne en Algérie, cette présente résidence algéro- européenne a été inaugurée mercredi dernier en fin d’après-midi.
Il y a 28 ans disparaissaient tragiquement Ahmed et Rabah Asselah, père et fils. Morts assassinés, un 5 mars 1994, dans l’enceinte d’un lieu hautement symbolique dédié à la beauté, à la création, l’Ecole supérieure des beaux-arts, à Alger.
La maison de la Culture Abdelkader Alloula organise la 3e édition nationale du salon national des femmes artistes. La galerie des arts Abdelhalim Hemch accueille, depuis hier et jusqu’au 8 mars, les œuvres de 24 plasticiennes (deux par artiste) et 11 artistes photographes, amateurs et professionnelles de 10 wilayas du pays.
Le théâtre régional d’Oran rendra hommage, aujourd’hui à partir de 14h, au poète algérien Mohamed Sehaba. La rencontre s’articulera autour de plusieurs thèmes qui seront abordés tour à tour par le chercheur universitaire Mohamed Daoud, la psychologue Khadidja Sassi, l’écrivaine Aïcha Bouabaci, le chroniqueur Adnan Hadj Mouri et le poète Yacine Benziane.
Dans le cadre de la célébration de la Journée internationale des droits des femmes, l’ambassade d’Espagne en Algérie et l’Institut Cervantès d’Alger présentent un riche programme pour ce rendez-vous annuel qui permet, entre autres, de réfléchir à la situation des femmes et de leurs droits, mais aussi de rendre hommage à celles et ceux qui contribuent à leur amélioration.
John Lennon, mythe vivant de la chanson engagée, à laquelle il était lié par la promesse de la faire entendre comme un hymne à la fois d’espoir et de révolte : espoir d’un monde meilleur défait de ses sempiternelles violences et révolte contre une épée à double tranchants ôtant à l’homme son humanité et sa sensibilité. Homme de grande sensibilité et surtout d’un éveil précoce face à la dérive mortifère des puissants de ce monde.
La mort de l’inventeur de la soul music, survenue le 11 décembre 1964, fait encore aujourd’hui l’objet de nombreuses spéculations, souvent farfelues. Elle est surtout en opposition totale avec l’image de gendre idéal véhiculée par le chanteur américain.